
Lettre Select 2ème trimestre 2025
04/08/2025
Temps de lecture : 5 min
Evolution des marchés financiers
Le deuxième trimestre a démarré par un choc de volatilité avec l’annonce lors du « Liberation Day » de la mise en place d’augmentations significatives des droits de douanes, au plus haut depuis plus d’un siècle avant d’annoncer leur report à début juillet, donnant le temps de mettre en place de multiples négociations bipartites.
De fait, les prévisions de croissance économique ont été largement révisées en baisse suite à ces annonces (la Fed revoit de 1.7%*$ à 1.4% la progression du PIB américain en 2025 et la BCE à 0.9%*$). Malgré tout, les indicateurs d’activité restent bien orientés (consommation, emploi) et soulignent l’incertitude ambiante. Notons également la hausse des résultats des entreprises du S&P 500 pour le 1er trimestre de +13%*$ par rapport au 1er trimestre 2024, portés encore une fois par les secteurs de l’innovation technologique.
Enfin, l’inflation se rapproche des cibles des banques centrales à 1.9%*$ en zone euro et 2.4%*$ aux Etats-Unis, laissant le champ libre aux banques centrales pour baisser les taux directeurs.
Globalement, les marchés d’actions ont progressé de +2.7%*$ en euro au 2ème trimestre portés par le report des hausses de droits de douanes, des dépenses budgétaires orientées à la hausse en Allemagne, en Chine mais aussi aux Etats-Unis avec la préparation de la « Big Beautifull Bill » qui prolongerait les baisses d’impôts décidées lors du 1er mandat de D. Trump. Les marchés européens surperforment en euro même si le S&P500 rebondit de 10.9%*$ en $ dans le sillage des secteurs de croissance (Nasdaq ; +17.9%*$ en $). Notons la belle performance des marchés émergents (+3.2%*$ en euro) portés par des niveaux de financements plus bas et le recul du dollar à 1.18 $ pour un € (-8.2% sur le trimestre) pendant la période.
Au sein de la sphère obligataire, les politiques budgétaires plus déficitaires ont maintenu les taux longs sur des niveaux proches de la fin mars : 4.23%*$ aux Etats-Unis et 2.60%*$ en Allemagne.
Également sujets aux chocs de risque, les primes de crédit ont suivi la même direction que les actions et se réduisent. Globalement, les dettes souveraines européennes progressent de 1.8%*$ sur le trimestre et leurs homologues privées de 1.7%*$.
Enfin, les matières premières (-4.1%*$) sont globalement en baisse ; l’impact des tensions internationales étant compensées par les craintes sur la dynamique de croissance mondiale.
FED, Bloomberg, 18 juin 2025
BCE, Bloomberg, 5 juin 2025
Bloomberg, 30 juin 2025
Eurostast, bloomberg, mai 2025, variation annuelle
Bureau of Labor Statistics, Bloomberg, mai 2025, variation annuelle
Bloomberg, indices MSCI AC World, S&P500, Nasdaq 100, MSCI Emerging Markets,
dividendes nettes réinvestis du 31/03/2025 au 30/06/2025Bloomberg, indices MSCI AC World, S&P500, Nasdaq 100, MSCI Emerging Markets,
dividendes nettes réinvestis du 31/03/2025 au 30/06/2025Bloomberg, indices MSCI AC World, S&P500, Nasdaq 100, MSCI Emerging Markets,
dividendes nettes réinvestis du 31/03/2025 au 30/06/2025Bloomberg, indices MSCI AC World, S&P500, Nasdaq 100, MSCI Emerging Markets,
dividendes nettes réinvestis du 31/03/2025 au 30/06/2025Bloomberg, emprunt de l’état américains et allemand à 10 ans au 30/06/2025
Bloomberg, emprunt de l’état américains et allemand à 10 ans au 30/06/2025
Bloomberg, indice Barclays EUR Aggregate Government et indice Barclays EUR
Aggregate Corporate du 31/03/25 au 30/06/2025Bloomberg, indice Barclays EUR Aggregate Government et indice Barclays EUR
Aggregate Corporate du 31/03/25 au 30/06/2025Bloomberg, indice Bloomberg commodities du 30/03/24 au 30/06/25
"Les marchés d’actions ont progressé de +2.7%*$ en euro au 2ème trimestre portés par le report des hausses de droits de douanes, des dépenses budgétaires orientées à la hausse en Allemagne, en Chine mais aussi aux Etats-Unis avec la préparation de la « Big Beautifull Bill » "
Bloomberg, indices MSCI AC World, S&P500, Nasdaq 100, MSCI Emerging Markets,
dividendes nettes réinvestis du 31/03/2025 au 30/06/2025
Nos décisions de gestion*
Avec une activité résiliente aussi bien du côté macro-économique que du côté des entreprises, nous avons augmenté notre exposition aux marchés d’actions dès la semaine suivant le « Liberation Day ». La gestion tactique de l’exposition a permis de tirer parti des chocs de volatilité.
Pour la part investie en actions, notre allocation géographique a d’abord privilégié les marchés européens (42 % en moyenne de la poche actions). La chute rapide de 10 % des actions américaines, couplée à des bénéfices meilleurs que prévus pour les entreprises du S&P 500 au premier trimestre, nous a conduits à repondérer les actions américaines de 34 % fin mars à 40 % fin juin.
Nos expositions aux valeurs de faible volatilité ont été bénéfiques en début de trimestre. Nous les avons allégées pour repondérer les valeurs de croissance aux États-Unis, largement délaissées au premier trimestre. En zone euro, nous avons introduit les titres de petites capitalisations boursières, plus résistants à un euro fort et bénéficiant d’un retour vers la croissance, en particulier en Allemagne. Notre allocation entre pays européens a été favorable, avec une sous-exposition sur la France au profit de l’Espagne et de l’Italie.
Nous avons pris des bénéfices sur le Japon et, plus modestement, sur les marchés émergents, qui représentent 12 % du portefeuille en fin de trimestre. Notre préférence pour l’Afrique du Sud et l’Amérique latine, au détriment de l’Asie hors Chine (Malaisie, Thaïlande), a contribué positivement.
Nos investissements sur les thématiques de long terme ont été portés par nos supports sur l’intelligence artificielle et sur la défense, renforcés par un allègement du thème de changement démographique.
La part obligataire des portefeuilles a contribué positivement, avec une surexposition favorable aux obligations gouvernementales sur le trimestre, complétée par un apport positif des arbitrages par pays, en particulier notre sous-exposition à la dette coréenne au profit de la dette européenne, italienne notamment. Les principaux gains proviennent des positions sur la dette privée à plus haut rendement européen, le crédit subordonné bancaire ou la dette émergente en dollar, que nous avons allégée au profit du crédit de meilleure qualité et de la dette émergente en devises locales.
Les arbitrages sur les devises ont contribué positivement, notamment notre sous-exposition au dollar américain, mais aussi notre exposition au florin hongrois ou au rand sud-africain.
Enfin, la diversification sur l’ensemble des classes d’actifs, des zones géographiques et des thématiques d’investissement a renforcé la résilience globale du portefeuille face aux incertitudes persistantes des marchés.
*Source : HSBC AM, basée sur le portefeuille HSBC Select Balanced, du 31/03/2025 au 30/06/2025, en base 100 % de la poche actions.
"Des bénéfices supérieurs aux prévisions pour les entreprises du S&P 500 au premier trimestre nous ont amenés à repondérer les actions américaines, passant de 34 % fin mars à 40 % fin juin."
La défense, nouveau relai de croissance ?
Si le thème de la défense est au cœur de l’actualité depuis plusieurs années, il a connu une accélération notable depuis l’arrivée de Donald Trump à la présidence des États-Unis. Entre le désengagement progressif des États-Unis de leur rôle de « gendarme mondial », la pression pour une contribution financière accrue de la part des pays européens au sein de l’OTAN, et la multiplication des conflits armés en Europe et au Moyen-Orient, de nombreux pays ont amorcé une hausse significative de leurs budgets de défense.
En Asie, le Japon a ainsi commencé à augmenter ses dépenses dès 2022, après avoir été limité à moins de 1 % de son PIB depuis la Seconde Guerre mondiale. En Europe, l’Allemagne a adopté en début d’année un plan de 500 milliards d’euros sur douze ans. Plus largement, l’Union européenne affiche cette même volonté de renforcement via son programme « ReArm Europe ».
Depuis la fin de la guerre froide, la contribution des États européens à l’OTAN avait diminué, laissant aux États-Unis la charge principale du financement de l’alliance. Toutefois, avec le déclenchement du conflit russo-ukrainien, certains pays comme la Lituanie, l’Estonie ou la Pologne ont déjà décidé de porter leur budget de défense à 5 %*$ du PIB d’ici 2025, alors que 23 des 32 membres de l’OTAN restaient jusqu’alors en dessous du seuil des 2 %.
Lors du sommet de juin, les membres de l’OTAN ont validé un objectif de dépenses militaires équivalant à 5 % du PIB d’ici 2035. Cela pourrait représenter environ 315 milliards d’euros*$ de dépenses supplémentaires pour les pays de l’Union européenne. Il est prévu que 20 % de ces montants soient dédiés aux infrastructures ainsi qu’à la recherche et au développement, y compris en cybersécurité, un domaine dans lequel l’Europe affiche un retard significatif par rapport aux États-Unis (4,5 %*$ des dépenses de défense contre 16 % outre-Atlantique).
Cette hausse budgétaire devrait se traduire par une forte augmentation des carnets de commandes pour les entreprises du secteur. Les bénéfices des acteurs européens de la défense sont ainsi attendus en progression de +44 %*$ cette année, et cette dynamique de croissance devrait se maintenir au cours de la décennie. C’est dans ce contexte que nous avons introduit une position sur ces valeurs dès le début du mois de mars, dans le cadre de notre allocation thématique au sein des portefeuilles.
OTAN , raaport annuel, Avril 2025
BofA Global Research, Juin 2025
Rapport Draghi, “The future of European Competitiveness”, septembre 2024
Bloomberg Stock Europe Total Market Aerospace & Defense, Juin 2025
"L’OTAN a approuvé une cible de dépenses militaires de 5% de PIB à horizon 2035."
Performances
Performances des portefeuilles HSBC Select au 30 mai 2025
Fonds | 2025 | 1 an | 2 ans | 3 ans | 4 ans | 5 ans | 6 ans | 7 ans | 8 ans | 9 ans | 10 ans |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
HSBC Select Moderate | 2,23% | 5,20% | 10,34% | 9,02% | 0,01% | 4,24% | 4,45% | 6,55% | 5,20% | 6,78% | 6,14% |
HSBC Select Balanced | 2,08% | 4,72% | 15,00% | 17,82% | 10,37% | 25,58% | 24,13% | 27,43% | 27,20% | 35,69% | 31,93% |
HSBC Select Dynamic | 2,66% | 5,43% | 17,47% | 21,79% | 13,45% | 34,04% | 31,85% | 35,12% | 35,51% | 48,18% | 41,26% |
HSBC Select Equity | 2,60% | 4,95% | 20,12% | 27,73% | 18,25% | 48,44% | 44,10% | 47,75% | 50,42% | 69,29% | 56,77% |
HSBC Select Flexible | 1,98% | 4,57% | 14,23% | 16,85% | 9,81% | 25,07% | 24,13% | 25,97% | 25,26% | 33,50% | 26,42% |
HSBC Select PEA | 8,33% | 6,99% | 15,89% | 26,12% | 7,96% | 33,34% | 23,90% | 21,14% | 18,51% |
Sources : HSBC Asset Management et Morningstar - 30 juin 2025
Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Le montant investi dans le fonds peut fluctuer à la hausse comme à la baisse en fonction des variations des cours des actifs et des devises. Il n’y a pas de garantie que l’intégralité du capital investi puisse être récupéré.
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Performances dividendes nets réinvestis
Indices | Nature | 2025 | 1 an | 3 ans | 5 ans | Vol. 1 an |
MSCI World AC | Actions Monde | -3,43% | 6,15% | 47,48% | 88,72% | 18,47% |
MSCI EMU | Actions zone Euro | 13,56% | 15,00% | 61,85% | 84,56% | 16,13% |
MSCI Emerging EUR | Actions Emergentes | 1,64% | 5,58% | 19,13% | 35,36% | 15,57% |
Ester / EONIA capi | Monétaire Euro | 1,24% | 3,04% | 8,83% | 7,58% | 0,09% |
Barclays EUR Agg | Oblig Gov. Euro | 0,58% | 4,47% | 2,23% | -10,88% | 4,54% |
Barclays EUR Corp | Obligations Crédit Euro | 1,80% | 6,05% | 13,04% | 2,61% | 2,81% |
Euro / USD | - | 13,84% | 10,03% | 12,43% | 4,92% | 8,63% |
Indicateurs | Valeurs au 30/06/2025 |
Taux 10 ans France | 3,28% |
Taux 10 ans US | 4,23% |
Taux monétaire EUR | 1,92% |
EUR/USD | 1,1787 |
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Risque lié à la gestion discrétionnaire : Le style de gestion discrétionnaire repose sur l’anticipation de l’évolution des différents marchés (actions, obligations). Il existe un risque que l'OPC ne soit pas investi à tout moment sur les actifs ou les marchés les plus performants, ceci induisant une moindre performance.
Risque de perte en capital : L’OPC ne bénéficie d’aucune garantie ni protection, il se peut donc que le capital initialement investi ne soit pas intégralement restitué.
Risque de taux : La partie du portefeuille investie dans des instruments de taux pourra être impactée par des mouvements de hausse ou de baisse des taux d’intérêt. En effet lorsque les taux d’intérêt à long terme montent, le cours des obligations baisse. Ces mouvements pourront entraîner une baisse de la valeur liquidative.
Risque de crédit : Le risque de crédit est le risque que la situation financière de l’émetteur se dégrade, le risque extrême étant le défaut de l’émetteur. Cette dégradation peut entraîner une baisse de la valeur des titres de l’émetteur et donc une diminution de la valeur liquidative du fonds. Il s’agit par exemple du risque de non-remboursement en temps voulu d’une obligation. Le risque de crédit d’un émetteur est reflété par les notes que lui attribuent les agences de notation officielles telle que Moody’s ou Standard & Poor’s. Les notes sont croissantes avec le risque de crédit : émetteurs de la catégorie « Investment Grade » à la catégorie « High Yield ». L’utilisation d’obligations subordonnées peut engendrer un risque lié aux caractéristiques de paiement du titre en cas de défaut de l’émetteur. Le fonds qui s’expose à un titre subordonné ne sera pas prioritaire et le remboursement du capital ainsi que le paiement des coupons seront subordonnés à ceux des autres créanciers détenteurs de rang supérieur. Ainsi, le remboursement de son titre peut être partiel ou nul. L’utilisation d’obligations subordonnées peut entraîner un risque de baisse de la valeur liquidative plus importante que celui lié à des obligations classiques. La Société de Gestion ne recourt pas exclusivement ou mécaniquement aux notations fournies par les agences de notation de crédit et privilégie sa propre analyse du risque de crédit pour évaluer la qualité de crédit des actifs et dans la sélection de titres à l’acquisition et à la vente.
Risque actions : La baisse du cours des actions peut entraîner une baisse de la valeur liquidative du FCP. En période de volatilité importante des marchés d’actions, la valeur liquidative pourra être amenée à baisser du fait de l’exposition possible du fonds à ces mêmes marchés. L’attention des souscripteurs est attirée sur le fait que les marchés de valeurs de petites capitalisations sont destinés à accueillir des entreprises, qui en raison de leurs faibles capitalisations, peuvent fluctuer et entraîner ainsi une baisse de la valeur des investissements du FCP.
Risque de change : Le risque de change est le risque de baisse des devises d’investissement par rapport à la devise de référence du portefeuille. La fluctuation des monnaies par rapport à la devise de référence peut entraîner une baisse de la valeur de ces instruments et par conséquent une baisse de la valeur liquidative de l’OPCVM.
Risque de marché émergent : L’OPCVM peut investir sur les marchés émergents via des titres, parts ou actions d’OPCVM et/ou des instruments financiers dont la valeur est susceptible de fluctuer fortement, ce qui peut conduire à des baisses de valeur liquidative significativement plus marquées ou plus rapides que la variation observée sur les marchés développés. Les principaux risques liés aux investissements dans les pays émergents peuvent être le fait de la forte volatilité des titres, de la volatilité des devises de ces pays, d’une potentielle instabilité politique, d’une politique interventionniste des gouvernements, de l’existence de pratiques comptables et financières différentes et d’une moindre liquidité.
Risque lié à l’investissement dans des obligations convertibles : la valeur des obligations convertibles dépend de plusieurs facteurs : niveau des taux d’intérêt, évolution du prix des actions sous-jacentes, évolution du prix du dérivé intégré dans l’OPC. Ces différents éléments peuvent entraîner une baisse de la VL de l’OPCVM.
Risques associés aux produits dérivés : Le FCP peut intervenir sur des instruments financiers à terme et conditionnels. Cette exposition à des marchés, actifs, indices au travers d’instruments financiers à terme et conditionnels y compris sous la forme de dérivés de crédit (notamment sous la forme de Crédit Default Swap) peut conduire à des baisses de valeur liquidative significativement plus marquées ou plus rapides que la variation observée pour les sous-jacents de ces instruments.
Fonds de la Gamme Select | SRI (indicateur de risque)*$ |
HSBC Select Moderate | 3/7 |
HSBC Select Balanced | 3/7 |
HSBC Select Dynamic | 3/7 |
HSBC Select Equity | 4/7 |
HSBC Select Flexible | 3/7 |
Le SRI (Summary Risk Indicator) est un indicateur global du niveau de risque du produit résultant de la combinaison de deux risques : le risque de marché et le risque de crédit. L'échelle varie de 1 (le moins risqué) à 7 (le plus risqué). Les données historiques pourraient ne pas constituer une indication fiable pour le futur. Rien ne garantit que la notation restera la même et la classification peut varier à long terme. La note la plus basse n’indique pas que l’investissement est exempt de tout risque. Ne prenez pas de risque inutile. Lisez le Document d'Information Clé. Le fonds HSBC Select Equity présente un indicateur de risque élevé. La valeur liquidative pourra connaître de fortes variations à la baisse comme à la hausse.
Les fonds de la gamme Select sont définis comme « articles 6 » selon la classification SFDR. Cela concerne les produits financiers qui ne font pas la promotion des caractéristiques environnementales et/ou sociales, qui n’ont pas un objectif d’investissement durable et qui ne répondent pas à la définition des articles 8 et 9.
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